Quelles sont les différentes sous-cultures composant le paysage des cryptomonnaies ? Une étude réalisée par Initiative Paris pour son client Ledger met en lumière 10 communautés avec leurs propres spécificités. Découvrez celle qui correspond le plus à votre profil.
Initiative Paris identifie les sous-cultures de notre industrie
L’agence média Initiative Paris a réalisé pour Ledger, le fabricant de portefeuilles physiques, une étude complète sur le paysage crypto anglophone afin d’identifier et comprendre les sous-cultures à travers leurs conversations sur Twitter et Reddit.
Nous vous dévoilons en exclusivité certains apprentissages que nous avons pu faire en analysant les résultats de cette étude à laquelle Cryptoast a pris part.
Quelles sont les différentes communautés et cultures liées aux cryptomonnaies ? Que cherchent-elles ? Quelle part de la population américaine représentent-elles ?
Pour répondre à ces questions, une méta-analyse réunissant les éléments suivants a été réalisée :
- Via une analyse sémantique de plusieurs millions de publications sur Twitter, réalisé par le spécialiste de l’intelligence artificielle Synomia (entre le 15 août 2021 et le 15 février 2022) ;
- Via une identification des sous-cultures des cryptomonnaies et des NFT, grâce à une approche itérative entre Initiative Paris, Synomia et Cryptoast;
- Via une enquête quantitative portant sur 4 000 entretiens aux États-Unis réalisée par Initiative Paris (en juin 2022).
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Un focus sur la communauté crypto des États-Unis
Notre analyse se penche sur l’activité de Twitter aux États-Unis, puisqu’il s’agit de l’une des communautés les plus actives de l’écosystème des cryptomonnaies, d’une région où les tendances émergent souvent en avance et où l’adoption de ces actifs est particulièrement importante.
Le monde extérieur davantage pris en compte
Avant d’identifier les sous-cultures, les recherches de Ledger apportent d’autres informations très pertinentes pour suivre l’évolution de l’industrie des cryptomonnaies.
De nombreuses thématiques se rattachent de plus en plus à des problématiques du monde réel. Ces thématiques sont bien évidemment présentes depuis l’apparition des cryptomonnaies, mais celles-ci prennent aujourd’hui une part plus importante des discussions.
On retrouve notamment le respect de la vie privée, l’empreinte environnementale des réseaux, la cybersécurité, l’influence des facteurs macro-économiques, l’impact des facteurs géo-politiques ou encore tout ce qui touche à la réglementation.
Ethereum gagne en puissance face à Bitcoin
L'analyse d’Initiative Paris pour Ledger apporte une information intéressante sur le volume des requêtes proches de l’écosystème Ethereum. Auparavant, les réseaux sociaux étaient plus « Bitcoin centrés », mais une mutation est en train de s’opérer.
Pléthores de sujets sont maintenant reliés à la blockchain Ethereum et une décentralisation s’opère également sur les thèmes abordés par les différentes sous-cultures. De nouvelles sous-cultures se sont d’ailleurs créées depuis l’essor d’Ethereum et de ses applications.
L’étude nous montre notamment que le volume des requêtes autour des thèmes de l’ETH au cours de novembre 2021 à février 2022 a progressé de +135 % par rapport aux 3 mois précédents. Du côté de Bitcoin, cette même statistique affiche un chiffre de +78 %.
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Toutes les sous-cultures du monde des cryptomonnaies
Sous-culture | Part de la population | Évolution du volume des requêtes sur les 12 derniers mois |
The Technopath | 14 % | + 255 % |
The Speculator | 10 % | + 141 % |
The Defiant | 7 % | + 430 % |
The Investor | 6 % | + 258 % |
The Competitor | 6 % | + 254 % |
The GameFi | 4 % | + 740 % |
The Miner | 4 % | + 169 % |
The Collectionist | 3 % | + 587 % |
The Source / Music | 3 % | + 429 % |
The Bitcoinist | 2 % | + 179 % |
The Technopath (14 % de la population)
Les technophiles sont la sous-culture la plus représentée de notre écosystème. Elle regroupe des individus plutôt intéressés par la blockchain en elle-même, et pas vraiment par les cryptomonnaies et à l’aspect financier qui s’en détache. D’ailleurs, ils n’ont pour la plupart du temps jamais investi dans les cryptomonnaies.
Le commentaire de Cryptoast :
Cette sous-culture apprécie avant toute chose la technologie et ce que le Web3 et la blockchain sont capables d’apporter à notre vie de tous les jours.
Ils ne sont pas là pour faire fortune en spéculant avec les cryptomonnaies, mais cherchent plutôt à participer au développement de nouvelles solutions plus performantes que celles du monde numérique traditionnel.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 255 %.
The Speculator (10 % de la population)
Les spéculateurs sont à la recherche d’un gain rapide, et le plus souvent par le biais du trading. Ils prennent des positions sur le court terme et s’intéressent particulièrement aux nouvelles cryptomonnaies en espérant faire d’importants bénéfices en un minimum de temps.
Ils sont très susceptibles de perdre une importante partie de leur investissement à cause de la volatilité. Les spéculateurs cherchent à devenir riches rapidement, sans pour autant faire de recherches approfondies avant de prendre une décision.
Toutefois, cette tendance tend à ralentir, et de nombreux spéculateurs veulent étayer leur savoir sur le marché des cryptomonnaies et de la finance de manière plus globale.
Le commentaire de Cryptoast :
Selon nous, la promesse de gains rapides est souvent l’une des raisons qui poussent un individu à s’intéresser aux cryptomonnaies. Cependant, cela ne dure pas très longtemps pour certains spéculateurs, car ils peuvent rapidement apprendre de leurs erreurs et se tourner vers une autre sous-culture plus rationnelle.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 141 %.
The Defiant (7 % de la population)
Les adeptes de la finance décentralisée (DeFi) sont sans surprise attachés à la décentralisation. Ils apprécient le fait de générer des rendements passifs en participant au bon fonctionnement d’écosystèmes (staking par exemple).
Ils sont aussi intéressés par d’autres solutions non rémunératrices comme les organisations autonomes décentralisées (DAO) ou les identités décentralisées (DID).
Cette sous-culture accueille une flopée de développeurs blockchain, lesquels construisent justement des projets autour de la décentralisation.
Ils considèrent que les protocoles de la DeFi comme Aave, MakerDAO ou encore Compound représentent l’avenir de la finance, et que tôt au tard, la finance traditionnelle devra cesser de l’ignorer.
Le commentaire de Cryptoast :
La finance décentralisée a pendant longtemps été ignorée des institutionnels, mais cela est en train de changer. De nombreuses entités commencent à s’y intéresser. C’est notamment le cas de la Société Générale, qui a déjà expérimenté plusieurs choses avec le protocole MakerDAO.
Le monde de la finance décentralisée est extrêmement vaste et continue de gagner de l’importance au fil du temps. L’aspect décentralisé plaît à beaucoup, car il empêche une seule entité de prendre des décisions en redonnant le pouvoir à la communauté.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 430 %.
The Investor (6 % de la population)
Les investisseurs sont des individus qui comptent réaliser des gains importants en investissant à long terme dans le Bitcoin, l’Ether et d’autres cryptomonnaies majeures et qui ont fait leurs preuves sur le temps.
Ils n’hésitent pas à continuer d’investir sur la durée, notamment avec le Dollar Cost Averaging (DCA), un principe qui consiste à acheter une certaine somme d’un actif à intervalles réguliers.
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Cette sous-culture est particulièrement sensible aux questions macro-économiques et espère compenser les hausses de prix dues à l’inflation galopante en investissant dans des valeurs qu’ils estiment sûres.
Ils apprécient particulièrement des investissements ancrés dans l’économie réelle, comme l’immobilier. Pour investir dans ce domaine tout en restant dans celui des cryptomonnaies, ils se tournent vers des solutions comme RealT, qui tokénise des biens immobiliers aux États-Unis et propose des rendements annuels autour des 10 %.
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Le commentaire de Cryptoast :
Les investisseurs ne sont pas là pour faire de rapides gains sur le court terme. Ils sont plus rationnels et préfèrent placer leurs fonds dans des cryptomonnaies à fort potentiel sur le long terme et qui ont déjà acquis leurs lettres de noblesse.
Depuis peu, cette sous-culture s’intéresse de plus en plus au monde des tokens non fongibles (NFTs), mais surtout à des œuvres d’artistes reconnus ou bien à des collections « blue chip » comme les Bored Ape ou les CryptoPunks.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 258 %.
The Competitor (6 % de la population)
Très détachés des autres sous-cultures, ils ne sont raccordés à aucune autre thématique de la leur et ne semblent pas intéressés par les autres sous-cultures.
Les Compétiteurs sont des fans de sport avant tout, mais qui se montrent intéressés par ce que peut apporter le Web3.
Ils s’intéressent particulièrement aux jeux Play-to-Earn (P2E) comme celui de la startup française Sorare, qui permet de collectionner des NFT de joueurs de football, basketball ou encore baseball, afin d’entrer en compétition avec d’autres individus et recevoir des récompenses.
Ce sont également des supporters avérés qui n’hésitent pas à montrer leur amour pour leur sport et leur club préféré. Ils se rapprochent pour cela de projets comme Socios et Chiliz, lesquels proposent des fans token de clubs donnant de nombreux avantages à leurs détenteurs : accès à des événements privés, participation à certaines décisions du club, etc.
Le commentaire de Cryptoast :
Les fans de sports sont particulièrement engagés dans leurs activités, il s’agit sans nul doute d’une sous-culture intéressante pour les applications du Web3, qui peuvent largement profiter de leur implication pour les fidéliser sur le long terme.
En outre, les fan tokens liés à cette sous-culture résistent plutôt bien à la chute globale des cryptomonnaies et au bear market qu’elles traversent. Cela peut s’explique par le fait que les détenteurs de ces actifs sont des passionnés, qui se détachent davantage des cours et qui continuent de s’impliquer dans la vie de leur club favori quel que soit le prix du token.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 254 %.
The GameFi (4 % de la population)
La GameFi (Game Finance) est la sous-culture avec la plus forte évolution sur la période étudiée. Cela peut notamment s’expliquer par l’essor des jeux Play to Earn (P2E) et les metaverses.
Le secteur de la GameFi regroupe des projets générateurs de revenus comme Axie Infinity, Aavegotchi, Zed Run ou encore STEP’N.
Les membres de cette sous-culture sont des fans de jeux vidéo et des passionnés qui n’hésitent pas à pleinement prendre part dans la construction d’un écosystème, notamment des metaverses où il est possible de créer ses propres expériences virtuelles.
Le commentaire de Cryptoast :
Que ce soit avec les Move-to-Earn ou les Play-to-Earn, le crypto-gaming se développe rapidement. Une rapide montée en puissance qui vient avec son lot de mauvaises surprises : économie des jeux fragiles, perte d’intérêt des joueurs, beaucoup de copies de jeux vidéo classiques, etc.
La GameFi fonctionne de pair avec les NFT, qui offrent un niveau d’ownership sans précédent aux joueurs, qui sont réellement détenteurs des actifs virtuels qu’ils possèdent dans ces jeux. Une particularité qui plaît particulièrement aux joueurs, car cela leur donne une plus grande liberté de décision par rapport aux jeux vidéo du Web2.
Cette sous-culture est extrêmement populaire dans certaines régions du monde, car des joueurs peuvent, avec un petit investissement de départ, générer des gains en jouant. Des gains qui ne sont pas nécessairement significatifs pour quelqu’un qui réside aux États-Unis, mais qui peuvent changer des vies dans d’autres pays. Cela a notamment été le cas aux Philippines avec le jeu blockchain Axie Infinity à ses débuts.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 740 %.
The Miner (4 % de la population)
Les mineurs représentent les individus et les entreprises disposant des ressources et/ou compétences pour miner des cryptomonnaies afin de générer des gains.
Ils sont particulièrement attachés à la technologie et ont des connaissances approfondies dans leur domaine.
Cette sous-culture est de plus en plus consciente des défis que doit surmonter l’industrie du mining, notamment en termes de consommation énergétique (même si la majorité de l’énergie utilisée pour miner de Bitcoin provient de ressources renouvelables).
De nombreux individus ont pu rejoindre cette sous-culture grâce à des plateformes comme Just Mining ou Feel Mining, qui permettent à n’importe quel individu de déléguer l’exploitation de ses machines de minage.
La sous-culture des mineurs accueille donc de nouveaux membres grâce à la simplification de la mise en place de telles infrastructures.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 169 %.
Le commentaire de Cryptoast :
Il sera intéressant de suivre l’évolution de cette sous-culture depuis le passage de la blockchain Ethereum au Proof of Stake, au détriment du Proof of Work. Avec la mise à jour The Merge, de nombreux mineurs ne peuvent plus participer au fonctionnement du réseau Ethereum comme auparavant, avec des cartes graphiques notamment.
Cette sous-culture va-t-elle se renforcer autour de Bitcoin ou va-t-elle se diriger vers des cryptomonnaies alternatives fonctionnant encore avec le Proof of Work ?
The Collectionist (3 % de la population)
La sous-culture de collectionneurs est composée de fans d’art, de metaverse et bien évidemment de NFT. Ce sont des investisseurs sensibles aux notions de rareté, d’unicité et de propriété, ce qu’un NFT peut apporter.
Ils ne s’intéressent pas qu’aux collections les plus célèbres (Bored Ape, CryptoPunks), et sont donc à l’affût des nouvelles collections qui seraient susceptibles de percer.
Le commentaire de Cryptoast :
Cette sous-culture est assez sociable, dans le sens où ses adeptes se regroupent sur des serveurs Discord pour échanger autour de leurs NFT et trouver ensemble les futures pépites.
Les collectionneurs sont malheureusement la cible de nombreuses tentatives de phishing et d’attaques en tout genre. Ces attaques sont perpétrées par des individus malintentionnés tentant de voler les NFT les plus précieux en jouant de mécanismes divers et variés toujours plus sophistiqués.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 587 %.
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The Source / Music (3 % de la population)
Cette sous-culture émergente regroupe des artistes et des créateurs de contenus en quête de nouvelles sources de revenus (plateforme de podcast Audius) et de financement via des plateformes de crowdfunding 3.0 (Pianity) pour la réalisation de leurs projets.
Les membres de cette sous-culture cherchent également à apporter leur soutien à leurs artistes préférés ou à promouvoir le prochain artiste en vogue
Le commentaire de Cryptoast :
Les plus grandes institutions du monde musical comme Warner Music et Universal s’intéressent grandement au Web3 depuis la démocratisation des NFTs. Elles estiment que les NFT apportent de nombreux avantages aux artistes pour construire leur communauté de fans.
Du côté des artistes, ceux-ci peuvent grâce au Web3 reprendre le contrôle total sur le contenu qu’ils produisent. Là où des plateformes centralisées comme Spotify ou YouTube engrangent des revenus colossaux sans forcément rétribuer les créateurs à la hauteur de leur travail, les solutions du Web3 redistribuent les cartes et placent les artistes sur la plus haute marche du podium.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 429 %.
The Bitcoinist (2 % de la population)
Les bitcoiners ne jugent que par Bitcoin et ne s’intéressent pas aux autres cryptomonnaies, qu’ils considèrent d’ailleurs comme des shitcoins. Ils se soucient du respect de la vie privée et de l’autonomie financière.
Certains membres de cette sous-culture souhaitent idéalement que le Bitcoin devienne l’actif de référence dans le monde et qu’il remplace toutes les monnaies centralisées émises par les banques centrales.
Les bitcoiners sont particulièrement conscients des problématiques macro-économiques et géopolitiques que le monde traverse et voient en Bitcoin une solution à tous ces maux.
Le commentaire de Cryptoast :
Les bitcoiners craignent particulièrement l’arrivée des monnaies numériques de banques centrales (MNBC), lesquelles pourraient très largement perturber la vie privée des individus et signer à terme la disparition des pièces et des billets, ce qui mettrait alors fin à l’anonymat de nombreux paiements.
Quelques bitcoiners vont plus loin que d’autres dans leurs convictions, on parle alors de « maximalistes bitcoin ». Ces derniers n’hésitent pas à redoubler d’efforts pour transmettre leurs connaissances et mettre au point des initiatives pour accélérer l’adoption du Bitcoin à travers le monde.
Évolution de l’influence de cette sous-culture depuis 12 mois : + 179 %.
Volume des requêtes de toutes les sous-cultures, par Initiative Paris et Synomia
L’indice de vélocité culturelle
Avec toutes les données récoltées sur les communautés du monde des cryptomonnaies, Initiative Paris a été en capacité d’évaluer la « vélocité culturelle » de chaque sous-culture, en fonction de 3 indicateurs :
- le volume mensuel de requêtes mensuelles ;
- l’évolution des requêtes sur les 3 derniers mois ;
- et l’évolution des requêtes sur les 12 derniers mois.
Avec les résultats obtenus, Initiative Paris a cartographié la dynamique de chaque sous-culture et d’identifié celles qui connaissent une croissance rapide :
Indice de vélocité culturelle des sous-cultures, par Initiative Paris et Synomia
Ces résultats nous montrent que la GameFi est la sous-culture avec l’indice de vélocité culturelle le plus élevé. Cela peut s’expliquer par la jeunesse de cette sous-culture, apparue avec l’essor des jeux basés sur la blockchain et les NFT.
La croissance des sous-cultures des mineurs et des spéculateurs est la plus lente. Une faible croissance qui s’explique par l’ancienneté de ces sous-cultures, lesquelles ont déjà fait leur nid dans l’écosystème depuis bien longtemps. Là où celles-ci attiraient la majorité des nouveaux arrivants dans l’industrie, ce n’est plus forcément le cas aujourd’hui.
Bien qu’il s’agisse d’une sous-culture assez peu représentée à l’heure actuelle, The Source évolue rapidement grâce à des artistes comme Nas ou Snoop Dogg qui tentent de réinventer leurs liens avec leurs communautés via les NFT et le metaverse.
Et vous, à quelle(s) sous-culture(s) de la crypto vous identifiez-vous ?
👉 Retrouvez Françoise Fassin sur LinkedIn, la directrice des opérations d’Initiative Paris
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